Ce mot, enregistré, si anodin dans la langue quotidienne, revêt pour nous aujourd'hui une signification intense et particulière. En effet, nous sommes désormais "résidents" en Inde, ce qui va nous permettre de vivre autrement, du moins sur le fond. En effet, nous pouvions accomplir l'essentiel de tâches quotidiennes, mais nous n'avions pas un droit fondamental : la propriété. Pour un non résident point de propriété : pas de scooter, pas d'assurance, pas d'achat important, pas de maison... la liste est longue.
A compter d'aujourd'hui, nous faisons partie d'une minorité, celles des français de l'étranger. A ce titre, nous bénéficions de la protection du Consulat (nous recevrons bientôt notre carte consulaire) et nous avons l'honneur de pouvoir voter pour notre député qui représente les expats de Vancouver à Bombay.
Nicolas