samedi 20 février 2010

De retour des Five Rahtas


Lundi nous sommes partis pour Mamallapuram,  petit village de pêcheurs, que nous connaissions depuis l’an dernier. Nous l’avons fait découvrir à notre amie Evelyne. Nous sommes restés une nuit dans un hôtel qui avait la piscine,  nous en avons bien en profité.

Nous avons aussi acheté un joli Boudha en bronze, (qui nous l’espérons nous portera chance) car les souvenirs ne manquaient pas.

J’ai commencé depuis deux jours des cours de yoga qui sont donnés par une jeune fille indienne,   j’incite Niko a venir faire cette expérience.

Lydie

jeudi 11 février 2010

Vamos a la playa

Nous avons enfin trouvé la dernière chose qui nous manquait à Pondicherry : la plage. En effet comment imaginer venir dans le sud de l'Inde au bord du golfe du Bengale, avec une eau à presque 30° tous les jours, sans trouver une jolie plage où se baigner. Certains nous ont parlé de la plage d'Auroville, mais nous ne l'avons que peu appréciée : front de mer très exposé aux vagues, l'eau devient rapidement assez profonde. Cet endroit est plus adapté au surf qu'à la baignade. Mais aujourd'hui, grâce à Ilyas, nous sommes allés à 17 km au sud, et là, ce fût la surprise totale : une plage digne des plages de Goa. Du sable à parte de vue, des cocotiers, une eau chaude, des vagues aussi. La baignade y a été très agréable. Le seul défaut, mais qui permet aussi de préserver la virginité de l'endroit est qu'il faut 30 minutes pour s'y rendre, nous nous en accommoderons facilement.
Nicolas

vendredi 5 février 2010

Comme un enfant



Ce matin, j'ai enfin pris le temps d'aller au marché Goubert. C'est le grand marché de Pondi où l'on peut trouver à peu près tout ce qui est comestible ici. On y trouve tous les légumes des paysans alentours : pomme de terre, choux fleur, mais aussi les légumes locaux comme les doigts de sorcière ou les dhals (ici le prix moyen du kilo de légumes est de 10 à 20 roupies - 15 à 30 cts d'euro, un gros ananas victoria 30 rs - 50 cts d'euro). Ma mission matinale était de trouver des "tiger prawns" ces crevettes géantes fraichement pêchées à la saveur incomparable. Pour cela j'ai du parcourir la vaste halle aux poissons. Préalablement je me suis mis en apnée car l'odeur est très forte, pour ne pas en dire plus. Flânant au milieu des allées, j'y ai découvert de nombreuses variétés de poissons et crustacés qui m'étaient inconnus. J'y ai reconnu des barracudas, des requins marteaux, des pomfrets, des snippers gris et rouges et surtout une magnifique cigale de mer. Ces poissons étaient très frais. Mais je suis arrivé déjà un peu tard et on m'a fait comprendre que les meilleures pièces (langoustes) étaient déjà vendues. J'ai été émerveillé par cette clameur et ce monde. La prochaine fois nous feront sonner le réveil pour y être à 8 heures. Celà étant dit, j'ai quand même acheté un kilo de magnifiques Tigers pour 300 roupies - environ moins de 5 euros - que vous pouvez admirer sur la photo.
Vous pouvez aussi voir nos stores qui ont été installés cette semaine et qui réduisent sensiblement la chaleur dans la maison, et nous protègent un peu du vis à vis.
Nicolas
PS : Après les avoir mangées : elles étaient excellentes !

Nous n'irons pas a la Kumba Mehla

Nous avons décidé de ne pas aller à la Kumba Mehla. Les raisons sont multiples : financières, climatiques et d'emploi du temps. le coût du déplacement depuis Pondicherry vers Haridwar est d'environ 200 € par personne, l'hébergement est également très cher même pour des européens ( 150 € la nuitée dans une tente chauffée près des Ghats) ce qui nous conduit a un budget global de 1500€ qui n'est pas a l'ordre du jour.
D'autre par la météo actuelle en inde du nord : brouillards historiques qui ont causé de nombreux morts, la fraîcheur des températures, nous a aussi découragé. Enfin nous avons encore beaucoup de choses à  faire ici.
A Pondicherry, nous ne voyons pas le temps passer, s'installer ici est une occupation à plein temps. Aménager la maison, les démarches administratives sont des tâches plus longues qu'en France autant à cause de la barrière de la langue que la différence des cultures. 
Demain nous attendons la visite de notre amie Evelyne qui arrive de Manosque pour quinze jours.
Nous lui avons prévus une chambre dans une guest qui se trouve dans une rue derrière chez nous. 
Ici les températures commencent à grimper aujourd'hui nous avons 33° et c'est très supportable.

Il est 17H30 nous sortons faire quelques courses pour le repas de ce soir alors à bientôt .
Lydie

mardi 2 février 2010

00 91 413 420 1664


Ce titre n'est pas un numéro surtaxé où vous auriez pu joindre "Ula", mais notre numéro de téléphone fixe à Pondy. Pour tous les heureux possesseurs de free-box et neuf-box (pas la live-box de chez orange) ce numéro est compris dans votre forfait triple play. Ici, ce genre d'offre n'existe pas encore, et le client indien ne connait quasiment pas l'illimité. Cette belle invention créée par SFR pour fêter le nouveau millénaire avec ses forfaits éponymes. Et nous avons du ferrailler plusieurs jours avec les commerciaux et les techniciens pour obtenir la pose du précieux lien avec le monde virtuel. Finalement, pour le prix d'une offre française, nous avons un forfait internet illimité, avec un débit, lui, limité à 1MB. Nous aurions pu obtenir du haut débit plus rapide, mais le forfait 16MB illimité coute 7000 rs, soit une centaine d'euros français. L'offre classique est 512Kps, 5go de data pour 5 euros par mois. Dans tous les cas, ici, tous les appels téléphoniques sont payants : alors n'hésitez pas à nous appeler.